Par la baie vitrée, grande ouverte en cette belle matinée de juillet, je ne vois qu’une chaussée moyenâgeuse, une végétation luxuriante, ici un héron, là un écureuil bondissant, une truite sauvage et des chabots, dans l’air le ballet perpétuel des oiseaux (chardonnerets, mésanges, citelles, pinsons...) ; je devine sous terre loutres et ragondins. Une hantise m’empêche d’en profiter pleinement : et si demain la holding propriétaire du moulin (aujourd’hui (...)