Notre temps porte en lui une confrontation entre des principes simples mais fondamentaux : chacun pour soi ou tous ensemble ? L’égoïsme ou le collectivisme ? Au risque de paraitre abstrait je dirai qu’une bonne partie du temps de l’Humanisme historique nous a conduit à centraliser l’individu comme source de la vérité et de l’efficacité dans la vie en société. Notre temps assimile cet acquis. Mais il nous oblige désormais à centraliser le collectif comme moyen de l’intérêt général et source du bien commun.