Profitant d’une société capitaliste où l’argent ne va qu’à l’argent, Aditya Mittal n’a rien à craindre. Qu’importent les amendes et les condamnations en cascade, son industrie figure parmi les plus gavées d’argent public, et la bourgeoisie ne sait bien qu’applaudir aux millions d’euros desquels il se rémunère chaque année, et aux milliards déversés sur ses actionnaires.