En France, on peut être poursuivi pour « crimes contre l’humanité et crimes de guerre », et avoir le soutien de partis politiques. Du moins, du Rassemblement national et des Républicains. C’est en effet ce qui arrive ce vendredi 22 novembre au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Au lendemain du mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale à son encontre, le dirigeant voit certains élus français voler à son secours, le RN, les LR et même le célèbre macroniste Sylvain Maillard.