Un an après les émeutes, bien des engagements gouvernementaux et une loi dite “d’égalité des chances”, la détérioration continue de la situation dans les quartiers s’accompagne d’une augmentation sensible de la violence, y compris contre les forces de l’ordre. Au point qu’élus locaux et acteurs associatifs dénoncent, sans détours, la remise au pas des associations de proximité et l’absence criante de moyens alloués à la politique de la ville. (...)