Il a commencé en saluant la diversité des élus de la RDC. Malgré leurs désaccords, ils sont capables de s’unir pour défendre leur patrie. Il fait écho à l’inquiétude partagée par de nombreux élus concernant la sécurité en RDC, notamment en raison de l’agression perçue de la part du Rwanda. Il est normal qu’un pays se sente envahi et perturbé pendant une période aussi cruciale que les élections. À cet égard, les parlementaires insoumis ont déposé une résolution, signée par les 75 députés du groupe, pour demander un engagement clair de la France en faveur de la paix et d’un cessez-le-feu en RDC, tout en condamnant les actions du Rwanda.

Jean-Luc Mélenchon insiste sur le fait que les principes de souveraineté et de respect des frontières sont fondamentaux dans l’ordre international, et que la souveraineté ne se partage pas. Il soutient le droit des Congolais à demander des sanctions contre ceux qui violent leur souveraineté, et il exprime le souhait que la France s’engage dans cette direction. Il est important de maintenir l’ordre international et le respect des frontières.

Il conclut en affirmant la solidarité entre la France et la RDC, mais il préfère utiliser le terme « entraide » pour souligner que les deux pays ont des intérêts mutuels à protéger l’ordre international. Il souligne que les Français ont besoin de cet ordre international, que l’entraide avec les Congolais est dans leur intérêt pour rétablir l’ordre dans la région. Il espère que le président Macron permettra le vote de la résolution en faveur de la paix en RDC au Parlement français, conformément aux positions déjà prises par l’ONU et le Parlement européen.