Il commence en insistant sur l’importance de la fraternité militante, d’autant plus face à une dégradation dans la considération des classes populaires.

Le capitalisme a produit le modèle urbain. La ville a alors été construite pour concentrer la population nécessaire au bon fonctionnement des usines de l’époque. Les quartiers populaires sont le produit d’un modèle économique, résultant en un rapport de force social. Il se traduit par des conditions de vie difficiles tels que le manque d’accès aux services publics, de médecins spécialisés, d’équipements sportifs, etc.

Jean-Luc Mélenchon critique également la stigmatisation des habitants de ces quartiers, illustrée par des campagnes racistes qui contribuent à fragmenter la société. Il insiste sur le besoin d’unité populaire, rejetant les tentatives de diviser la population en fonction de la religion ou du lieu de résidence.

Les habitants des quartiers populaires sont la structure de base de la révolution citoyenne. Ils portent l’idéal progressiste du pays. L’unité populaire permet de construire une nation française basée sur l’égalité et la solidarité.

Il termine par mettre en garde contre les risques de guerre généralisée après les frappes américaines contre des sites des rebelles Houthis au Yémen et souligne l’impact économique et financier qui va en découler.