1) Félicitations pour ce site

Réponse à l’article Record de fréquentation mensuelle pour notre site en avril 2008 avec 39301 connexions après 34008 en mars

Bonjour.J’ai découvert votre site en faisant des recherches sur le rapport Pochard.

Félicitations pour sa richesse, son ouverture et sa clarté.

Depuis je le conseille à mes amis de Seine maritime et je me connecte tous les jours car vos informations sont pertinentes et donnent une autre perspective sur l’actualité et les luttes que les journaux décevants comme par exemple le Monde actuel.

Le PS étant tellement inaudible nationalement, c’est rassurant de voir que certains résistent.

claudine chopinet

2)Nouvelle déclaration de principes du Parti Socialiste

A mettre en application d’urgence !

Ce texte est parfait, noble, empli d’idéal....

Maintenant, je cherche par le passé la cohérence entre les actes et les principes et j’espère pour le futur que vous vous montrerez à la hauteur de ce que vous proclamez.

Les petites gens comme moi n’attendent que ça et si vous ne prenez pas ces attentes au sérieux, nous nous dirigerons inexorablement vers les extrêmes politiques, des conflits, des guerres...un désastre annoncé !

Il ne vous manque que du courage...le petit peuple courageux suivra des responsables responsables ! c’est-à-dire courageux et cohérents...

Aujourd’hui, vous ne l’êtes point...pas courageux, pas honnêtes... pas crédibles !

Mais demain ? qu’attendez-vous nom d’une pipe !! signé une mère de famille éveillée et inquiète pour son avenir et surtout celui de ses enfants

Mélanie Parent

3) Besancenot chez Drucker

Réponse à l’article Interview d’Olivier Besancenot à son retour de Cuba

Et dans le même temps, qui c’est qui sera l’invité de Drucker très prochainement ? C’est Olivier ! Cherchez l’erreur. Star Système, quand tu nous tiens...

Brigitte Blang

4) Excision

Réponse à l’article Victoire sur l’excision, Pierre Foldes, le chirurgien qui redonne l’espoir aux femmes mutilées

j’ai moi même été excisée ; j’aimerai avoir, retrouver mon identité sexuelle pour pouvoir me sentir FEMME.

Lulu

5) Excision Réponse à Lulu

bonjour,

ce médecin se trouve à St Germain el Laye pres de paris. Je vis à Londres je m’y suis rendue pour une premiere consultation au mois de février dernier.

l’Epreuve fut difficile car personne est au courant dans mon entourage ! D’autant plus difficle que je n’ai pas les moyens de me payer l’opération.

Est ce que vous aurez une adresse email pour que je vous donne plus de détails ?

Bon courage,

Mya

6) Réponse à l’article DEMISSION ET DISSOLUTION IMMEDIATE DU MINISTRE ET DU MINISTERE DE LA HONTE NATIONALE

je suis outré de constater qu’un membre du ministère n’use pas de son droit de réserve dans ce genre de situation ; que fait RAMA YADE

7) Réponse à l’article Caisse noire : l’ancien président du MEDEF François Ceyrac touchait 5000 € par mois en liquide et bénéficiait gratuitement d’une villa !

Ressortons les guillotines. C’est la guerre : ce sera eux ou nous !!!

8) Réponse à l’article Class action : Le MEDEF dicte déjà sa loi au gouvernement par Sarkozy interposé

BONJOUR A propos des deputes qui votent contre le projet de class action

Comment peux t on connaitre le nom, des deputes qui votent contre les class actions Si par malheur le depute du coin etait de ceux la ,j irai lui dire deux mots Par avance merci de la reponse

9) Réponse à l’article La psychologie de Nicolas Sarkozy vue par Michel Onfray : rappel

bonjour, Basse-Normandie, Argentan, ce 02.05.08

Je viens de découvrir ce texte par M. Onfray. Il ferait crainte si le citoyen ne croyait - et il y tient - que l’esprit politique de Nicolas Sarkozy ne saurait cesser de l’emporter sur les émotions dans les décisions relatives à la conduite des "affaires françaises" et du fameux ’domaine réservé’.

Je suis né dans le Gaullisme de guerre, dans cet esprit de guerre transféré au civil, j’étais à l’inauguration de l’Ecole Atomique en France, mes parents ont participé - père militaire - à la fondation de la Ve République et à sa fidèle protection. Dans mes SOUVENIRS de CASERNES,manuscrit sans éditeur à ce jour ( 1953-1965),je dévoile que je fus cet enfant de 8 ans qui transmettait - comme le "Go Between" - de petits papiers "au nom de la France, pour la France" à l’entrée des fortifications de l’enceinte miltaire pour des inconnus, la nuit...

C’étaient les ’grands préparatifs’,me dit ma mère un jour des années 80... Le De Gaulle, connu par mon père et par un moine de mes amis, Résistant des premières heures et Compagnon du Général, et aussi par l’un de ses cousins qui vécut dans l’entourage du Président dans les années 60, pouvaient témoigner que De Gaulle avait de sérieuses ’sautes d’humeur’ mais savait se contrôler dans tous ses moments publics.

Que le Président N. SARKOZY ait de la violence en lui, cela se comprend : en effet, nul n’arrive au sommet du pouvoir - de toutes sortes de pouvoirs - sans avoir sorti ses griffes et sans avoir mordu. Cette attitude est classique au titre d’une défense qui est aussi une protection réactionnelle. Cela s’appelle ’survivre’, traditionnellement en Sciences Humaines, et ’résilience’ depuis le Docteur Boris CYRULNIK, pédo-psychanalyste ( même si Cyrulnik en fait une extension abusive). Mais l’auteur le plus VRAI sur la ’violence’ éducative, de l’enfant à l’adulte,mais nullement présent(e) dans les programmes d’études en France et pas davantage invité(e) sur les plateaux de TV...c’est ALICE MILLER que j’ai rencontrée à des Conférences Européennes sur l’Enfance maltraitée, à PARIS, en 1996. Son oeuvre sur l’enfance violentée est majeure, tant ignorée de la France mais connue de la plupart des pays civilisés...Un ouvrage brillant et concret : L’ENFANT SOUS TERREUR. Un autre : C’EST POUR TON BIEN.

La violence du Président N. SARKOZY ? M. ONFRAY évoque l’enfance de Nicolas Sarkozy. Pourquoi pas et nous y sommes ? En même temps, cette violence n’est-elle pas concevable davantage en privé que dans la sphère publique ? Par ailleurs, il est aussi une violence : la violence transparente, la courtoisie...Celles qui n’ont d’éduquée qu’une apparence fonctionnelle, une stratégie de survie assortie de ’marges de sécurité’ et d’anticipation, cette violence qui tisse une personnalité dans l’autoritarisme et le meurtre potentiel.

C’est ce que j’ai VU et ENTENDU dans mes casernes coloniales, dans mon enfance minuscule. Cette violence du style ’dictature papier’ fut celle de mon père, engagé à 15 ans, qui a fait la guerre à 17 ans, Narvik à 18, fondateur hyper-violent et dangereux de la Ve République dans les années 50, et son protecteur aux affaires secrètes...

Et je fus ’éduqué’ par la combinatoire de ce père et du monde militaire. J’ai écrit mon témoignage avec réflexions d’un enfant éduqué pendant 10 ans dans une prison militaire, INTERDIT de vie citadine. Là, j’explique la vie de cet enfant, de ses parents, d’un environnement singulier des années 50-60, de comportements discrets et fondamentalement violents. J’y évoque mes souvenirs sur le Gaullisme feutré et brillant sur, entre autres, l’ampleur d’une conception du pouvoir par la compréhension immédiate des médias comme vecteur...

Que le Président contienne des violences, certes, mais je ne pourrais imaginer, encore moins concevoir, que sa visée, délibérée ou non, pût être l’instauration d’une dictature-biométrique. J’ai toute conscience d’être construit DANS et PAR d’extrêmes violences, lesquelles ne trouvent leurs origines que dans les situations, les paroles et les narrations de tortures dites à l’enfant de 5-13 ans que j’étais et qui en fut le réceptacle, situations où mon enfance a baigné malgré moi. Dès lors, je ne parviens toujours pas à distinguer aisément une ’douceur’ masculine - que je concède tout à fait à l’ "homme de bonne volonté" & raisonnable qui se voit dans le texte de M. Onfray - d’une dureté, également masculine, de Nicolas Sarkozy qui exprimerait une forme bivalente de l’agressivité défensive-offensive justement nécessaire à un Président.

Est-ce là, l’élément ’violence’ inhérent à la structure psychologique et politique du Gaullisme qui m’a éduqué (ou ’dressé’ ?) par ce père - que je n’avais évidemment pas choisi - et qui, de manière transgénérationnelle, habite le Président de la République ? Je reprends là l’affirmation du Président par laquelle il se réclame du Général De Gaulle. Cette affirmation est-elle profondément ’idéologique’ ou simplement vectorisée ou encore instrumentalisée ? Je ne sais, pour n’être pas dans ’ce’ secret des dieux. Ce drame de la ’déchirure, non de la ’rupture’ pour singulariser un ’SIGNIFIANT’, fondateur à mon sens, dans les paroles de N. Sarkozy, est celui que je tente de résoudre : le balancier ’violence-douceur masculine’.

Cela depuis l’EMOTION brûlante, que je ressens encore, de la défaite de Dien-Bien-Phu en 1954, qui n’est pas MA défaite par évidence mais qui taraude sans cesse l’enfant de 5 ans que j’étais et l’adulte que je suis. Je fus contaminé par l’émotion de mon entourage militaire qui en a subi une humiliation aussi douloureuse que non-négociable. Et c’est l’effarement compréhensible de M. Onfray sur le REJET de Nicolas Sarkozy de ( tenter de ) se connaître lui-même. Pourtant, ce 30 avril 2008, je me disais : la connaissance d’aspects de soi procure-t-elle l’apaisement et la forme rationnelle de soi vers autrui...à tout coup ? Notre lucidité est-elle une paix enfin trouvée ou un simple savoir intellectuel classé sans suite ?

Mais,précisément, ce REFUS par le Président de se connaître soi-même n’est-il pas déjà le début de l’appréhension par laquelle nous pouvons ce faisant ’embrasser’ le fonctionnement du personnage ( Grec, ’persona’ : ’masque’ ) qui s’interpelle dans ses sous-jacences ? Et s’il y avait superposition entre l’intériorité et l’extériorité du ’character’ (’personnage’) comme se dit en Anglais ? Dès lors, la connaissance du soi n’aurait plus qu’à se lire dans les faits qui sont têtus. N. Sarkozy n’aurait pas même à jouer au jeu de cache-cache avec La / Sa vérité. Les mots et les choses parleraient d’eux-mêmes. C’est ce qu’il est pratique de retenir de Merleau-Ponty : ’Nos paroles nous enseignent notre pensée’. Ainsi, il suffirait d’écouter les paroles du Président pour y identifier son intérioriré comme s’y lirait à livre ouvert. Rupture, rejet, déchirure ? Considérant le REJET (en tout de soi ) ET la ’RUPTURE’ dans son action politique , ce REJET, par cela-même, signifie déjà son auteur.

Se connaître soi-même ? Cela séduit toujours. Toutefois n’entrerions-nous pas ainsi dans une instropection résolument lucide certes mais qui serait la DOULOUREUSE CONNAISSANCE de soi en RE-PASSANT par les chemins de souffrances d’enfant ? Un Président conscient et se connaissant ? Le rêve et la nécessité dus aux Français ? Pas simple. J’y suis depuis plus d’un demi-siècle et je n’ai toujours pas démêlé cet écheveau tout en ayant pourtant réussi à identifier des nodules de mon histoire qui n’est que le ricochet des intéractions de mon milieu éducatif ! C’est en ce sens que j’ai le sentiment violent d’une douleur enfouie chez Nicolas Sarkozy et l’impression d’une sérénité chez M. Onfray : tout semble affaire de notre dressage éducatif et surtout de la synthèse - réussie, nomade ou erratique - de nos contradictions internes ( Cf Alice Miller, nos conversations en 1996-97 & mes Souvenirs de casernes). -

A. Claudot-Helland