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Les chiffres sont accablants : à 30 jours du premier tour en 2022, les sondages de Ifop sous-estimaient Jean-Luc Mélenchon de 8 points (14 % prévus vs 22 % réels). Tout au long des 1424 jours de sondages de l’élection présidentielle, une manipulation grossière vise à marginaliser la gauche de rupture et à gonfler à l’hélium le RN. Leur méthode magique ? Sous-estimer systématiquement le leader insoumis.
Les sondages tentent de fabriquer l’opinion, le peuple résiste et vote Mélenchon
Leur excuse finale face au fiasco ? Un prétendu « vote utile » de dernière minute. Un mensonge tellement facile à démonter que c’en est presque vexant : les autres gauches étaient surestimés de 3 points, où sont les 5 points manquants ? Des électeurs de Valérie Pécresse auraient subitement décidé de passer du conservatisme forcené des Républicains à la révolution citoyenne ?
Ce n’est pas sérieux. Reste donc l’autre hypothèse : l’Ifop, comme tous les instituts de sondage, a sciemment sous-représenté l’électorat insoumis pour influencer la dynamique de campagne en faveur de la droite et de l’extrême droite. C’est un véritable scandale démocratique : ces millions d’électeurs « invisibles » dans les enquêtes IFOP ont pourtant bien voté. Preuve que l’institut ne sonde pas l’opinion – il la fabrique.
Scandale démocratique renouvelé en 2024. 27 sondages sur 27 annonçaient la victoire du RN aux législatives anticipées. On connait le résultat. Le peuple attend toujours que ces instituts reconnaissent leur duperie.
Pendant que les médias reprennent ces chiffres truqués, rappelons-le : en 2017 comme en 2022, Jean-Luc Mélenchon n’a fait que progresser. Aujourd’hui, malgré un matraquage médiatique à la hauteur de danger qu’il représente pour les privilèges de l’oligarchie qui concentre richesse et pouvoir en France, le leader insoumis n’a jamais été aussi haut dans les sondages bidons.
Par Ulysse
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