air de : Ce fut par la faute du sort
Monarque autrefois si fêté,
Des bons François, l’unique idole,
Pour avoir trop mal écouté,
Tu fréquentas mauvaise école,
Souviens-toi de cette leçon,
Tu viens de ternir ta mémoire.
Réfléchis bien dans ta prison
Que vertu seule fait gloire.
*
Le bonheur eût filé tes jours ;
Que ta conscience en décide,
Les rois nés bons le sont toujours
Quand la vertu devient leur guide.
Si ton sort fut d’être abusé,
Les François ne veulent plus l’être ;
Pour ce que tu nous a causé,
Apprends comme on punit un traître.
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