Aux JO de Beijing, Nicolas a manqué à la délégation française (billet d’humeur)

mercredi 27 août 2008.
 

Ça y est, c’est fini, plié, bouclé, les JO…

On n’attend plus que la traditionnelle réception du prince dans les jardins du palais avec accrochage de breloques sur le torse des z’heureux vainqueurs de métaux dorés, argentés ou bronzés.

Pour augmenter substantiellement la récolte, il aurait fallu envoyer à Beijing un vrai sportif, un qui connaît l’affaire, un qui est capable de tout gagner, et dans toutes les catégories. Vous voyez bien qui aurait pu…

Un gars qui court, qui saute, qui nage, qui rame (oh oui ! qui rame !), qui cavale, à pied, à cheval et même en bateau, un sportif multicarte, en somme, une espèce de dodécathlonien de qualité.

Des preuves ? Dès le début de l’été, il nous a réussi un fabuleux lancer de disque, celui de sa chérie, distribué gratos à tous les ministres, qui savent donc tous à l’heure qu’il est fredonner « C’est ma came… »

Bingo ! 300000 objets vendus, et pourtant, il y avait de la concurrence. C’est juste pour vous montrer la qualité du lanceur. Quant aux autres épreuves, on a les photos de tous les entrainements. Mais va comprendre, il ne s’est aligné dans aucune de ces matières…

Manque de confiance, qui sait ? Dommage ! Va falloir me soigner ça, si on veut progresser.

brigitte blang


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