Le parasitisme oligarchique en France : médaille d’or de l’accumulation de profits

jeudi 22 août 2024.
 

Le site Élucid – média d’Olivier Berruyer a abordé la question du parasitisme de la grande bourgeoisie sur le monde des travailleurs sous le titre :

DE MACRON AU RN : les PARASITES sont prêts à TOUT pour maintenir leurs INTÉRÊTS

https://www.youtube.com/watch?v=lO5...

Entretien avec Nicolas Framont, sociologue, responsable du site Frustration, auteur du livre : Parasites . Édition : les liens qui libèrent. Paru en février 2023. Date de diffusion de la vidéo : 29 juin 2024 Durée : 1h30

Comme d’habitude, Olivier Berruyer illustre est complète les informations de l’invité par des tableaux et graphiques en l’occurrence sur les records de profits réalisés par la grande bourgeoisie française qui bat des records mondiaux.

On comprend alors pourquoi les médias dominants en France battent des records de désinformation et d’agressivité passionnelle contre la gauche de rupture.

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Parasitisme social des dominants

Il nous a paru intéressant, pour ne pas dire amusant, d’interroger trois logiciels d’intelligence artificielle sur le parasitisme social des dominants.

Voici ma question :

Comment expliquer à la lumière de l’anthropologie ou plus généralement des sciences sociales que les Homo sapiens puissent se faire gouverner, se faire dominer par des Homo sapiens que l’on peut considérer comme des parasites ou des prédateurs au sens large ?

1 – Réponse IA 1

L’idée que des Homo sapiens puissent se faire gouverner, voire dominer, par d’autres Homo sapiens considérés comme des parasites ou des prédateurs peut être expliquée à travers plusieurs théories et concepts en anthropologie et en sciences sociales. Voici quelques pistes de réflexion :

1. Origine de la Hiérarchie Sociale

Les hiérarchies sociales ont émergé très tôt dans l’histoire de l’humanité. Dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs, les différences de pouvoir étaient souvent limitées et basées sur des compétences spécifiques, mais avec l’avènement de l’agriculture et des sociétés sédentaires, les hiérarchies sont devenues plus complexes et marquées. L’accumulation de ressources a conduit à des inégalités, et ceux qui contrôlaient ces ressources ont souvent acquis un pouvoir disproportionné.

2. La Théorie de la Domination Sociale Selon cette théorie, les sociétés humaines tendent à développer des structures de dominance où certains groupes (ou individus) prennent le contrôle et dominent les autres. Cela peut être lié à des facteurs biologiques, mais surtout à des dynamiques sociales et culturelles. Les groupes dominants utilisent divers mécanismes, tels que la coercition, la persuasion, et le contrôle des ressources, pour maintenir leur pouvoir.

3. Le Contrat Social et la Légitimité du Pouvoir Le philosophe Thomas Hobbes a théorisé que les individus acceptent de se soumettre à une autorité centrale pour éviter le "chaos" de l’état de nature. D’autres, comme John Locke et Jean-Jacques Rousseau, ont parlé de "contrat social" où les individus cèdent une partie de leur liberté en échange de protection et de services. La légitimité du pouvoir repose sur un accord tacite ou explicite entre les gouvernés et les gouvernants. Cependant, lorsque les dirigeants abusent de ce pouvoir, ils peuvent être perçus comme des parasites.

4. Manipulation Idéologique et Contrôle Culturel Les dirigeants peuvent maintenir leur pouvoir en contrôlant les croyances et les valeurs de la société. Antonio Gramsci a introduit le concept d’hégémonie culturelle, où les idées dominantes sont celles de la classe dirigeante, mais elles sont acceptées comme les normes naturelles par la majorité. Cela permet aux dirigeants de justifier et de perpétuer leur domination.

5. Psychologie de la Soumission et du Conformisme Les recherches en psychologie sociale montrent que les individus peuvent se conformer aux normes sociales et se soumettre à l’autorité pour éviter les conflits et s’intégrer dans le groupe. Des expériences célèbres comme celles de Milgram et de Stanford ont démontré à quel point les individus peuvent obéir à des figures d’autorité, même contre leur propre jugement moral.

6. La Peur et l’Incertitude La peur de l’inconnu et le besoin de sécurité peuvent pousser les individus à accepter la domination. Les dirigeants peuvent exploiter ces peurs pour justifier leur contrôle, souvent en présentant des menaces internes ou externes qui nécessitent une autorité forte.

7. La Résilience des Structures Sociales Les structures de pouvoir sont souvent résistantes au changement en raison de la complexité des réseaux sociaux et des institutions en place. Les élites peuvent utiliser des lois, des politiques et des institutions pour maintenir leur pouvoir et empêcher des révoltes ou des changements radicaux.

Conclusion Les Homo sapiens peuvent se faire gouverner ou dominer par d’autres Homo sapiens considérés comme des parasites ou des prédateurs en raison d’une combinaison de facteurs historiques, sociaux, psychologiques et culturels. La compréhension de ces dynamiques complexes est essentielle pour analyser les structures de pouvoir et envisager des voies vers des sociétés plus équitables.

** 2 – Seconde réponse .IA 2

L’étonnante capacité humaine à se soumettre : une perspective anthropologique La question de la soumission d’un individu à un autre, voire à un groupe, est une question centrale en sciences sociales et en anthropologie. Elle soulève des interrogations fondamentales sur la nature de l’être humain, ses relations sociales, et les mécanismes qui sous-tendent l’exercice du pouvoir.

Pourquoi les humains acceptent-ils d’être gouvernés ? Cette question peut sembler paradoxale, voire contre-intuitive, lorsqu’on la pose dans les termes de « parasite » ou de « prédateur ». Pourtant, l’histoire de l’humanité est parsemée d’exemples de régimes autoritaires, de dictatures, et de sociétés où l’inégalité était la norme.

Des explications multiples et complexes Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette apparente contradiction :

Le besoin de sécurité et de protection : Les humains, en tant qu’êtres sociaux, ont un besoin fondamental de sécurité et de protection. Ils sont prêts à renoncer à une partie de leur liberté individuelle en échange d’une protection contre les menaces extérieures ou intérieures. Le pouvoir politique, en offrant cette protection, répond à un besoin profond. La croyance en une autorité légitime : Les individus sont plus enclins à obéir à une autorité qu’ils considèrent comme légitime, qu’elle soit fondée sur la tradition, la religion, la force, ou le consentement des gouvernés. La légitimité du pouvoir est un concept complexe qui varie selon les cultures et les époques. La socialisation et l’éducation : Dès l’enfance, les individus sont socialisés à respecter l’autorité, à se conformer aux normes sociales, et à obéir aux règles. L’éducation joue un rôle crucial dans la transmission de ces valeurs et de ces normes. La peur et la violence : La peur de la violence ou des représailles peut contraindre les individus à obéir à un pouvoir qu’ils désapprouvent. Les régimes autoritaires utilisent souvent la répression pour maintenir leur emprise sur la population. Les bénéfices individuels : La soumission à un pouvoir peut apporter des avantages individuels, tels que l’accès à des ressources, à des privilèges, ou à un statut social. Le concept de pouvoir et les relations de domination Il est important de nuancer l’idée de « parasite » ou de « prédateur » pour comprendre les relations de pouvoir. Le pouvoir n’est pas seulement une question de force brute, mais aussi de persuasion, de manipulation, et de construction de consensus. Les dirigeants les plus efficaces sont souvent ceux qui parviennent à légitimer leur pouvoir et à mobiliser le soutien de leurs sujets.

Les relations de domination ne sont pas nécessairement fondées sur la violence ou l’exploitation. Elles peuvent aussi être le produit de processus historiques, culturels, et sociaux complexes. Par exemple, les systèmes de castes en Inde ou les systèmes féodaux en Europe ont longtemps été justifiés par des idéologies religieuses ou politiques qui présentaient l’inégalité comme un ordre naturel.

En conclusion, la capacité des humains à se faire gouverner par d’autres est un phénomène complexe et multifactoriel. Il ne s’agit pas simplement d’une question de soumission passive, mais plutôt d’un processus dynamique qui implique des interactions sociales, des constructions identitaires, et des jeux de pouvoir.

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3 – Troisième réponse.IA 3

Copilot

C’est une question fascinante et complexe qui touche à la fois à l’anthropologie, à la sociologie et à la psychologie sociale. Voici quelques pistes pour expliquer ce phénomène :

Hiérarchies sociales et pouvoir : Depuis les débuts de l’humanité, les sociétés humaines ont souvent été structurées en hiérarchies. Ces hiérarchies permettent une organisation sociale et une répartition des tâches, mais elles peuvent aussi mener à des abus de pouvoir. Les individus ou groupes qui accèdent au pouvoir peuvent parfois agir de manière prédatrice ou parasitaire, exploitant les ressources et les personnes à leur avantage1. Légitimation du pouvoir : Les dirigeants justifient souvent leur pouvoir par des idéologies, des croyances religieuses ou des systèmes de valeurs qui les présentent comme légitimes. Cette légitimation peut être acceptée par la population, même si les dirigeants agissent de manière nuisible2. Psychologie de la soumission : Les travaux de chercheurs comme Stanley Milgram et Philip Zimbardo ont montré que les individus peuvent se soumettre à l’autorité, même lorsque celle-ci est abusive. La pression sociale, le conformisme et la peur des représailles jouent un rôle important dans cette dynamique3. Inégalités et dépendance : Les inégalités économiques et sociales peuvent créer des situations de dépendance où les individus n’ont pas d’autre choix que de se soumettre à ceux qui détiennent le pouvoir. Cette dépendance peut être exploitée par les dirigeants pour maintenir leur contrôle4. Sacralisation du pouvoir : Dans certaines cultures, le pouvoir est sacralisé et les dirigeants sont vus comme des figures quasi-divines ou héroïques. Cette sacralisation peut rendre difficile toute contestation de leur autorité, même lorsqu’ils agissent de manière prédatrice5. Ces éléments montrent que la gouvernance par des individus considérés comme parasites ou prédateurs est un phénomène complexe, enraciné dans des dynamiques sociales, culturelles et psychologiques profondes.

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Question supplémentaire àIA 1 et sa réponse

Au fil des millénaires, l’Homo sapiens a été capable de faire des découvertes scientifiques et technologiques de plus en plus complexes en étudiant notamment les lois de la nature. Comment expliquer qu’il n’a pas été capable de construire un savoir lui permettant de ne pas être gouverné par des parasites, des prédateurs et des faiseurs de guerre qui mette en danger l’espèce humaine ? Il s’agit ici tout domaine de sa survie. S par ce que les sciences sociales étudiant les rapports de domination sont insuffisantes et n’ont pas été suffisamment enseignés au plus grand nombre aboutissant ainsi à une population politiquement inculte dans sa majorité. ChatGPT Votre question touche à des thèmes complexes et multidimensionnels qui ont préoccupé les philosophes, les sociologues, les politologues, et les historiens pendant des siècles. Voici quelques pistes de réflexion pour expliquer pourquoi l’humanité n’a pas encore réussi à se libérer totalement de la domination de parasites, de prédateurs et de faiseurs de guerre : 1. Nature humaine et comportements sociaux : o Instincts et émotions : L’humain, comme tout être vivant, est guidé par des instincts de survie, de domination, de compétition, mais aussi par des émotions telles que la peur, la colère, et l’avidité. Ces éléments peuvent être manipulés par ceux qui cherchent à exercer le pouvoir. o Hiérarchies naturelles : Dans de nombreuses sociétés animales, y compris humaines, des hiérarchies se forment naturellement. Les individus les plus puissants ou les plus charismatiques tendent à dominer, parfois au détriment du bien commun. 2. Complexité des systèmes sociaux et politiques : o Interdépendance et complexité : Les sociétés humaines sont extrêmement complexes et interconnectées. Les systèmes de pouvoir, qu’ils soient économiques, politiques ou sociaux, sont souvent interdépendants et difficiles à réformer ou à renverser. o Résistance au changement : Les systèmes établis ont tendance à résister au changement. Ceux qui détiennent le pouvoir ont souvent les moyens de maintenir leur position, y compris par la manipulation de l’information, la répression, ou l’usage de la force. 3. Éducation et conscience politique : o Insuffisance de l’éducation : Une éducation limitée ou biaisée empêche les individus de comprendre pleinement les dynamiques de pouvoir et de domination. Dans de nombreuses sociétés, l’éducation est structurée de manière à ne pas remettre en question les fondements du pouvoir en place. o Culture et propagande : Les cultures politiques et les médias jouent un rôle crucial dans la formation des opinions publiques. Les élites peuvent utiliser la propagande pour maintenir leur contrôle et empêcher l’émergence d’une conscience politique critique. 4. Économie et inégalités : o Disparités économiques : Les inégalités économiques créent des conditions propices à la domination. Ceux qui possèdent les ressources peuvent exercer une influence disproportionnée sur les institutions politiques et économiques. o Pauvreté et vulnérabilité : La pauvreté rend les populations vulnérables à la manipulation et à l’exploitation, réduisant leur capacité à résister aux formes de domination. 5. Histoire et cycles de pouvoir : o Cycles historiques : L’histoire montre que les sociétés passent par des cycles de centralisation et de décentralisation du pouvoir, de révolution et de réaction. Chaque nouvelle tentative de libération peut être suivie par la consolidation d’un nouveau pouvoir dominant. o Mémoire historique : Les sociétés ont souvent une mémoire historique courte, ce qui peut conduire à la répétition des mêmes erreurs. 6. Évolution des sciences sociales : o Sciences sociales et leur diffusion : Les sciences sociales ont effectivement progressé dans la compréhension des dynamiques de pouvoir et de domination. Cependant, leur diffusion et leur enseignement restent souvent limités, ce qui restreint leur impact sur la conscience et l’action politique des populations. Pour aller plus loin, il pourrait être utile de s’intéresser à des théories spécifiques en sociologie, en science politique, et en psychologie sociale qui explorent les mécanismes de domination et de résistance. Les œuvres de penseurs comme Michel Foucault, Pierre Bourdieu, ou Antonio Gramsci, par exemple, offrent des perspectives riches sur ces questions.

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Annexe

adresse du site Frustration magazine  : https://www.frustrationmagazine.fr/

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